Découverte de la Jordanie

Mars 2022
Itinéraire de 5 jours

Wadi Rum, Petra de nuit & de jour, et la mer morte.

Durée : 5 jours, 4 nuits
Pays : Jordanie

A l’annonce de la fin des restrictions en Jordanie et en Suisse, un élan de motivation me décida de partir sur un coup de tête. Ce voyage ne fut ni le plus long, ni le plus organisé que j’ai effectué.

Voici le condensé de mon voyage en Jordanie. 

Arrivée à Aqaba, Jordanie.

L’aventure débute à l’aéroport d’Aqaba, où subitement je me rends compte que je ne vais pas avoir aussi chaud que prévu (on est en Mars 2022 et il fait particulièrement froid pour la période).

Certainement le plus petit aéroport que j’ai fréquenté. Après un passage rapide à la douane et la sécurité, je me trouve tout de suite dehors.

Bonne nouvelle ! en quittant la douane, des stands proposent des cartes SIM et de la « data Internet » (information introuvable sur Internet).

Évidemment ! aucun réseau n’est disponible dans le Wadi Rum. Il est malgré tout très utile d’être connecté pour se repérer et se guider aisément lors des déplacements dans le pays, ainsi que pour trouver des infos rapidement.

La réception de la voiture de location se fait directement sur le parking à droite en sortant. Pour info : (personne ne viendra vous chercher devant l’entrée comme indiqué sur les sites de locations !). ça évite d’attendre inutilement, et permet d’être potentiellement dans les premiers à récupérer sa voiture.

Au passage, je conseille fortement de choisir une compagnie locale. Laquelle coûte beaucoup moins cher que les enseignes de locations de voitures mondialement connus.

Deux nuits dans le Wadi Rum en Jordanie.

Une fois la voiture de location récupérée, en route direction le Wadi Rum pour deux nuits. 

Les chaussées sont globalement en bon état, attention néanmoins aux nids de poules et SURTOUT aux nombreux dos d’ânes (ralentisseurs) qui ont tendance à surprendre. 

Comptez une bonne heure pour arriver à destination.

Contrairement aux autres Guides et Organismes, je vous préconise fortement le Wadi Rum Jordan Guide pour booker votre séjour. Lequel vous proposera de dormir dans des camps itinérants, jamais aux mêmes endroits. Ce qui permet de partir, pour des excursions plus isolées dans le désert et par là-même s’éloigner des sites touristiques. 

Je vous conseille vivement de faire le choix de partir pour un minimum de deux nuits afin de profiter au mieux de l’aventure. Pour ma part, si mon séjour en Jordanie eut été plus long et le Wadi Rum ayant réellement été le “Highlight” de mon voyage, j’aurai opté pour 3 ou 4 nuits dans le désert. A refaire !!!

Il est néanmoins évident de bien choisir la période, aussi je conseillerais ce type de voyage hors des saisons chaudes, soit en Mars et Avril. 

Un peu avant d’arriver au Village du Wadi Rum, il est impératif de faire une halte au Visitor Center afin de faire valider votre Jordan Pass. Cette simple formalité ne vous prendra qu’une poignée de minutes. 

A nouveau sur la route, une dizaine de minutes est nécessaire pour atteindre la maison d’Atallah, point de rencontre pour les excursions. Je n’ai pas rencontré de problème de stationnement, et après quelques minutes occupées à préparer mon sac pour ces 2 nuits, me voilà parti dans le désert à l’arrière d’un pick-up, accompagné d’une famille de français bien sympathique avec qui je vais partager cette première soirée et ce premier coucher de soleil qui en cette fin de journée est à vous couper le souffle. 

Dans la foulée, direction le campement.

Cette première nuit se fera à l’abri dans une petite grotte. Au premier abord, difficile d’imaginer comment la soirée et la nuit vont se dérouler. Installés autour d’un feu avec les Bédouins qui nous accompagnent, nous sommes invités à boire le thé (excellent au passage).

Très vite, nous sommes rejoints par un premier couple de français, suivi d’un second qui reviennent chacun de plusieurs nuits dans le désert. Débutent alors de nombreuses discussions sur leurs pratiques respectives et ce à quoi nous attendre lors de ce périple. 

Durant ce temps, nos hôtes nous préparent un dîner que nous partageons tous ensemble, dîner suivi d’une veillée à échanger nos expériences et nos visions sur différents sujets et bien d’autres choses.

Bientôt 23h, il est temps de nous préparer pour notre première nuit.

Équipés de matelas et de couvertures très épaisses, nous sommes prêts à affronter cette nuit qui s’annonce plutôt froide et venteuse (conditions inhabituelles à cette période de l’année).

Pour ma part, malgré mon accoutumance au bivouac sous tente, j’inaugure aujourd’hui ma première nuit à la belle étoile. Quel plaisir de m’endormir avec les étoiles plein les yeux (avant évidemment de m’être emmitouflé dans la couverture pour ne pas geler de froid à cause du vent et de la température).

Ce matin, réveil tardif aux alentours de 8h.

Sans pression nous nous préparons dans le calme et partageons le petit déjeuner tous ensemble avant que les guides ne viennent nous chercher. Ils établissent une répartition selon le nombre de jours et les options que nous avons choisi. 

Nous débutons la matinée par des sites quelque peu touristique. Nous visitons successivement les ruines de la maison de Lawrence d’Arabie. (Un des lieux de tournage du film), des arches et bien d’autres endroits.

Au milieu de la matinée, je suis séparé de la famille rencontrée la veille. Je rejoins un nouveau groupe composé de deux couples de français qui seront mes nouveaux acolytes jusqu’à la fin de mon séjour dans le Wadi-Rum. 

Nous voilà en route cette deuxième partie de matinée pour une randonnée à travers le désert. Notre guide nous conduit au sommet d’une des montagnes environnantes. Je devine au loin un troupeau de dromadaires errant au milieu du désert. Notre guide nous initie à « comment faire du shampoing naturel avec une plante du désert et un peu d’eau ». C’est bluffant ! 

Après être redescendus en fond de vallée, nous nous arrêtons pour une pause thé (c’est fréquent dans le désert) assis dans une tente de bédouins pendant laquelle nous assistons à un court spectacle de musique organisé par notre hôte à l’aide d’une guitare artisanale fabriquée avec de la peau d’animal et des poils de queue de cheval en guise de corde. Il est temps de poursuivre notre chemin via notre coin pique-nique.

L’après-midi, une randonnée de quelques heures dans le désert nous attend.

Nous traversons un étroit canyon avec des passages très resserrés. L’ambiance est stupéfiante et l’environnement dépaysant. S’ensuit une nouvelle pause thé qui précède notre dernière merveille de la journée : le spectacle du coucher de soleil sur une belle arche naturelle avec de belles lumières sur les parois de la montagne qui lui fait face. Un peu trop de personnes sont présentes sur le site, ce qui gâche quelque peu l’enthousiasme de notre petit groupe.

Fort heureusement notre guide l’a bien compris. Afin d’assister au coucher de soleil, il nous entraîne vers un point de vue exceptionnel qui tient toutes ses promesses ! 

Direction le camp pour la nuit.

Enfin, nous entamons notre dernière ligne droite dans le désert pour clôturer cette journée direction notre campement pour la nuit. 

Comme la veille, nous nous installons autour d’un feu et discutons autour d’un énième thé, appelé ici “Bedouin’s Whiskey”.

Vient l’heure de notre dîner, qui pour moi sera le dernier dans le désert du Wadi Rum. À la fin de celui-ci, j’offre à Rachid (notre guide) un paquet de nougats que j’avais dans mon sac, ce qui l’étonne et le ravit à la fois, mais pas autant que son émerveillement après les avoir goûtés. Une belle façon de lui rendre la pareille pour les merveilleux endroits et moments qu’il nous a fait vivre et découvrir. 

Après quelques tentatives de photos de nuit, malgré cette pleine lune scintillante et de nombreuses discussions, il est temps de se préparer à entamer cette deuxième nuit, que “j’appréhende” beaucoup moins que la précédente. Mes compagnons découvrent eux leur première nuit. Je peux ressentir chez eux la même appréhension que j’avais éprouvé la veille, celle de ne pas savoir réellement à quoi s’attendre.

Dernier jour dans le Wadi Rum.

Le lendemain matin, comme à l’accoutumée, nous nous réveillons tranquillement aux aurores, j’en profite pour observer le jour se lever progressivement, avant de sortir “du lit” et m’installer autour du feu, une tasse de thé à la main avant de prendre notre petit déjeuner, toujours copieux avec de l’humus, sorte de crème de fromage de chèvre type Philadelphia, de l’huile d’olive, de la pâte à tartiner à la pistache, des olives et de la galette. En accompagnement, vous l’aurez compris, encore et toujours, du thé. 

Cette journée sera uniquement composée de marche. Comparé à la veille, le vent s’est calmé et le ciel est légèrement voilé, ce qui masque un minimum le soleil mais sans empêcher de ressentir la chaleur qui le traverse.

Après une longue marche de plusieurs heures, une dernière crapahute dans le sable pour atteindre le sommet d’une “montagne”, après être passés à côté de magnifiques roches de couleur chaude, tout en nuance, nous terminons sur le point de vue le plus beau et le plus excitant de tout mon séjour en Jordanie. Une vue à couper le souffle avec au loin une barre de montagnes qui semble être la délimitation naturelle avec l’Arabie Saoudite, qui donne sur la gauche sur le plus haut sommet de la Jordanie où l’on peut apercevoir un point de contrôle.

Après une pause méritée pour contempler la vue et prendre quelques (beaucoup) photos, nous redescendons et prenons la direction de notre spot déjeuner. Celui-ci terminé, nous nous installons pour une courte sieste au soleil avant de reprendre notre chemin. 

Une dernière marche.

Nous entamons une nouvelle marche, qui sera aussi ma dernière, puisque une voiture est sensée me récupérer pour me ramener au Wadi Rum Village. Lors de cette dernière randonnée, nous nous arrêtons le long de roches gravées, ce qui semble être d’anciens camps bédouins. Notre guide s’arrête quelques instants pour remplir une petite bouteille de sable qu’il m’offre en guise de remerciement pour mon cadeau de la veille. 

Finalement, la voiture arrive et après des adieux à mes compagnons de ces deux jours et aux guides, je pars plein gaz à travers le désert direction le reste de mon périple, plus exactement Petra.

Une soirée et une matinée à Petra.

Sur la route en direction de Petra, en cette fin de journée je profite de paysages illuminés par de chaudes lumières. Lui succède un magnifique coucher de soleil. Après 1h40 de route, me voici arrivé à destination. Au cœur de la cité, je file directement acheter mon billet pour la visite de Petra By Night, puis je rejoins mon hôtel à quelques minutes à pied de l’entrée du site de Petra.

Après ces deux jours dans le désert, une douche est bien méritée. L’heure défilant à toute allure, je décide de sauter le repas du soir et de me rendre directement au site de Petra pour profiter de ces quelques heures de visite.

Un élément que j’ignorais et que je n’ai donc pas pu anticiper, c’est le fait que différemment à notre pratique en Europe, le week-end en Jordanie se trouve être le vendredi et le samedi.

Aussi, le jeudi soir (comme le vendredi), les locaux viennent visiter ce site et donc s’ajoutent aux touristes. Le site est donc plus fréquenté qu’à l’accoutumée.

(Difficile donc pour un photographe de profiter pleinement des lieux et de repartir avec les photos escomptées). 

Une fois arrivée devant le « Trésor », magnifiquement illuminé par des bougies, je m’installe tranquillement dans un coin pour profiter pleinement de l’expérience et prendre quelques photos. Voyant un nombre croissant de personnes se rassembler autour de moi, je comprends que la séance photo sera plus compliquée que prévu. Je décide alors de m’éclipser plus en avant pour réaliser quelques photos de nuit du « Siq » qui nous amène au trésor, sans être importuné par le flot de visiteurs. 

Une fois cette mission terminée je retourne sur mes pas et quittant le site, je rentre à mon hôtel me jeter dans les bras de Morphée.

Randonnée de Little Petra à Petra

Le lendemain matin, réveil à 6h30 pour mon aventure du jour : une randonnée depuis une entrée par l’arrière du site de Petra au niveau du “Little Petra”. Une virée annoncée pour 12 kms qui se terminera en 17 kms… Elle en vaut la peine ! 

Après un bon petit déjeuner, je récupère mon billet à l’entrée principale du site puis je saute dans un taxi qui m’amène à destination.

Arrivé à destination à 7 h 40, je suis complètement seul, même les vendeurs des (très) nombreux points de ventes ne sont pas encore présents. Cela me permet de profiter pleinement de l’endroit.

Je poursuis ensuite mon ascension en essayant de suivre le chemin indiqué sur ma carte GPS. Difficilement lisible, on s’oriente tout azimut. Je gravis la montagne sans trop de difficulté en essayant de rester le plus près possible du tracé de la carte, et en suivant les crottes des chèvres plus que le chemin qui semble inexistant (si les chèvres peuvent passer, je le peux également).

Après quelques galères de repérage et de désescalades périlleuses, je finis par arriver en bas. J’entame alors la traversée d’une interminable vallée avec des fermes de chaque côté, A mon passage, je suis accueilli par les aboiements de chiens plus ou moins commodes. 

A l’issue de cette vallée, commence une longue montée qui se termine par un chemin en escalier, avec de nombreuses marches à gravir. Une fois au sommet, la vue est magnifique et je décide de m’arrêter boire un thé pour en profiter pleinement. 

Je reprends ensuite ma route direction du Monastère, que j’atteins une vingtaine de minutes plus tard.

L’avantage d’avoir choisi de faire cet itinéraire en sens inverse du chemin normalement emprunté, me permet d’être tranquille un bon moment. je me retrouve là, avec moins d’une quinzaine de personnes à admirer ce superbe monument.

J’en prends plein la vue. 

Au bout d’un moment, je repars en direction du Trésor dans une désescalade que je suis bien content de ne pas avoir fait à la montée. Le chemin est relativement plaisant. Je profite à fond du décor.

Seul hic, (bien réveillés à cette heure) les vendeurs sont très insistants et j’ai réellement l’impression d’être un porte-monnaie à pattes. 

Une fois cette partie achevée, j’approche du vif du sujet avec de nombreuses ruines antiques et de nombreux bâtiments creusés dans la roche, je suis très impressionné. En y réfléchissant, je pense qu’une matinée n’est pas suffisante pour explorer Petra et les différents chemins qui existent, mais cette petite excursion m’a permis de visiter les sites principaux.

D’autant plus qu’après 2 jours dans le désert à ne pas voir grand monde, le retour à la foule dans un lieu touristique comme celui-ci me saoule un peu.… 

En parlant de foule, je débouche enfin sur « Trésor » de jour, éclairé cette fois-ci par un généreux soleil, magnifique ! Je ne m’éterniserai pas car entre le monde et les vendeurs, je suis bien content de m’éclipser vers mes prochaines aventures, le Wadi Ghuweir (que je vivrai comme un échec) et la mer morte !

La mer morte

La Jordanie possède de nombreux Wadi, sortes de grands canyons avec des rivières plus ou moins profondes où l’on peut envisager des randonnées/canyoning pour certaines.

Voyageant au mois de mars, beaucoup ont paru être fermés ou non accessibles. Le plus connu par exemple, le Wadi Mujib et son Siq Trail n’ouvre ses portes qu’au premier avril.

Ayant tout de même envie de visiter l’un d’eux pendant mon séjour, j’ai questionné le concierge de mon hôtel à Petra qui m’a donné le nom du Wadi Ghuweir. Celui-ci se situe justement sur la route entre Petra et la Mer Morte (avec bien évidemment un détour pour s’y rendre). Après un coup œil sur Internet et mon application : (Alltrails, laquelle propose un trail de 27 kms à faire dans ce Siq) l’endroit semble accessible par la route sans point d’accès payant ou sécurisé, sans parler du site qui apparemment donne envie de s’y rendre. 

Je rentre donc la l’itinéraire dans mon GPS et je prends la route pour m’y rendre. Après être sorti de la route principale, commence une longue route de plus en plus sinueuse et pentue. À un certain moment, à 2 ou 3 kms de ma destination, une portion de route sur plusieurs centaines de mètres n’est plus goudronnée et s’avère très raide. Me retrouvant seul, dans une Kia loin d’être un 4×4 et, n’ayant croisé ni voitures, ni êtres humains depuis un bon moment, j’opte pour la sage décision de ne pas m’y aventurer et de rebrousser chemin. (Je conseille, si vous en avez la possibilité d’aller explorer ce lieu qui a l’air incroyable).

C’est un peu dépité que je me remets en route.

Me voici donc à bord de ma voiture en direction de la mer morte où j’arrive après 1h30 de conduite. Rappelez-vous, nous sommes vendredi, c’est le week-end dans le pays. De ce fait, la circulation se fait plus dense, des gens marchent dans tous les sens le long de la route, des voitures sont garées sur les bandes d’arrêt d’urgence.

Cela ressemble à un chaos organisé ! Pour couronner le tout, le temps n’est pas à la fête le vent s’est levé. Tant bien que mal, je trouve un endroit pour m’aventurer au bord de la mer après m’être arrêté moi aussi sur la bande d’arrêt d’urgence.

Le moment est mitigé entre frustration vis-à-vis de la météo comme de la fréquentation et une relative satisfaction d’être sur les bords de la mer morte. Je plonge ma main dans cette eau pour dire de ne pas rentrer bredouille.

Finalement, je décide de me rendre à mon hôtel en deuxième partie d’après-midi pour profiter de la piscine alimentée par des sources d’eaux chaudes qui parviennent des hautes montagnes environnantes. Après une belle et fatigante journée, j’évite de traîner et me couche rapidement. 

Le lendemain matin, réveil tranquille et bain de la première heure dans la piscine, avant de filer au petit déjeuner et de rouler 3h30 en direction de l’aéroport d’Aqaba. Je garde évidemment en tête de trouver un nouveau et meilleur spot pour redescendre au bord de la mer et en profiter davantage.

Sans l’affluence de la veille et avec une météo plus propice, je déniche aujourd’hui un endroit sympathique juste après le pont de l’entrée du Wadi Mujib (direction Aqaba). Finalement j’apprécie le point de vue en bordure de mer (en faisant abstraction des nombreux déchets qui jonche la côte). Je réalise de belles photos. 

Après une petite heure passée ici, je continue ma longue route direction l’aéroport dans le magnifique désert Jordanien, à quelques encablures de la frontière Israélienne. Ce qui sonne la fin de ce bref mais remarquable et intense périple en Jordanie.

Mes meilleurs souvenirs resteront tout de même ces quelques jours passés dans le désert du Wadi Rum.

 

Ce que j’aurais aimé savoir avant de partir

  • Que les voitures de location se trouvent directement sur le parking de l’aéroport et que personne ne viendra vous chercher comme indiqué sur la réservation
  • Qu’il y a la possibilité d’acheter une carte SIM de téléphone directement à la sortie de l’aéroport 
  • Que les jours de week-end en Jordanie sont le vendredi et le samedi (notamment pour éviter le monde)
  • Que le désert du Wadi Rum allait être le meilleur moment du voyage et que 3 nuits auraient été parfaites
  • Que certaines activités n’ouvrent qu’à partir de début avril (Wadi Mujib par exemple)
  • Que le Wadi Ghuweir existait et que la route n’est apparemment pas si périlleuse que ça à remonter

FIN